10.08.2022
10.08.2022
La journée du 10 est la définition parfaite de "comment gâcher une journée en une seconde de décision". Je ne pensais pas sortir pour être honnête. Puis j'ai pensé à une journée touristique où j'observerai et prendrai en photo les vieux bâtiments de l'ère Meiji sur le site de l'actuel université Dōshisha. Puis la cathédrale Sainte-Agnès bâtie sous l'ère Meiji, ce que son architecture ne laisse aucun doute.
Puis j'ai vu sur le twitter de la Kyôto Municipal Transportation Bureau que la série de rames 05 de Karasuma Line a une livrée spéciale ou du moins des décos minimales. Ca tombe bien, je ne l'ai pas. Comme il a des décos et une sorte d'exposition dans chaque wagons, les horaires de la rame pour août et septembre sont publiés sur le site officiel.
Ce déplacement à Takeda m'aura permis d'avoir aussi la rame 20. Il m'en reste mais je ne pense pas pouvoir tous les avoirs. C'était peut-être ma dernière sortie pour la ligne Karasuma Line.
Direction Dōshisha où je vois mon bus favoris sur la ligne 59. Bonne photo quoique je me permets de rager puisque le soleil tapait fort lors de la prise de vu et quelques millièmes de secondes après, le soleil a été couvert sous un épais nuage. Ce qui aurait évité une surbrillance sur une partie du toit.
Après avoir pris les photos que je voulais, je me place rapidement sur mon coin de spot favoris sur Imadegawa : la position idéale pour les bus de la ligne 59 avec en prime une excellente condition météo et donc une bonne visibilité des girouettes FC-LED. Le bus 3507 revient... Sauf que j'ai décidé d'improviser une photo inutile que j'ai royalement raté. Oubliant au passage que mon appareil photo est incapable de cumuler deux photos nettes de suite. Vous connaissez la suite. Et dans ce genre de situation, je suis d'humeur à vouloir me jeter sous une voiture ou a gueulé gorge déployée.
Certain diront que "ça va", moi je dis "CA VA PAS". Lorsqu'il s'agit d'un véhicule que j'adore, sur ma ligne préférée, sur le spot idéal, zéro excuses n'est possible. Légèrement trouble, c'est de la merde là où ça ne l'est pas pour un véhicule banal. Je sais que je me fous une pression énorme pour ce genre de détails, mais ce genre de détail compte beaucoup. Et l'énervement atteint son paroxysme lorsque sur l'instant je suis conscient que c'est ridicule avec le recul.
Puis j'ai vu sur le twitter de la Kyôto Municipal Transportation Bureau que la série de rames 05 de Karasuma Line a une livrée spéciale ou du moins des décos minimales. Ca tombe bien, je ne l'ai pas. Comme il a des décos et une sorte d'exposition dans chaque wagons, les horaires de la rame pour août et septembre sont publiés sur le site officiel.
Ce déplacement à Takeda m'aura permis d'avoir aussi la rame 20. Il m'en reste mais je ne pense pas pouvoir tous les avoirs. C'était peut-être ma dernière sortie pour la ligne Karasuma Line.
Direction Dōshisha où je vois mon bus favoris sur la ligne 59. Bonne photo quoique je me permets de rager puisque le soleil tapait fort lors de la prise de vu et quelques millièmes de secondes après, le soleil a été couvert sous un épais nuage. Ce qui aurait évité une surbrillance sur une partie du toit.
Après avoir pris les photos que je voulais, je me place rapidement sur mon coin de spot favoris sur Imadegawa : la position idéale pour les bus de la ligne 59 avec en prime une excellente condition météo et donc une bonne visibilité des girouettes FC-LED. Le bus 3507 revient... Sauf que j'ai décidé d'improviser une photo inutile que j'ai royalement raté. Oubliant au passage que mon appareil photo est incapable de cumuler deux photos nettes de suite. Vous connaissez la suite. Et dans ce genre de situation, je suis d'humeur à vouloir me jeter sous une voiture ou a gueulé gorge déployée.
Certain diront que "ça va", moi je dis "CA VA PAS". Lorsqu'il s'agit d'un véhicule que j'adore, sur ma ligne préférée, sur le spot idéal, zéro excuses n'est possible. Légèrement trouble, c'est de la merde là où ça ne l'est pas pour un véhicule banal. Je sais que je me fous une pression énorme pour ce genre de détails, mais ce genre de détail compte beaucoup. Et l'énervement atteint son paroxysme lorsque sur l'instant je suis conscient que c'est ridicule avec le recul.
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